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Vitamine C à libération graduelle 1000 mg
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Détails du produit

Saviez-vous que la vitamine C n’est pas essentielle à tous les animaux ? Toutefois, elle l’est pour nous, les humains. Elle n’est pas une constituante nécessaire de l’alimentation, du moins pour tous les mammifères à l’exception des cochons d’Inde, des chauvesouris frugivores, des oiseaux bulbuls à ventre rouge et des primates - ce qui nous inclut. Toutes les autres espèces produisent la leur. 

Elles le font en convertissant l’acide glucuronique dérivé du glucose en acide ascorbique (C6H8O6). Trois enzymes sont nécessaires pour assurer cette conversion. Une de ces enzymes, ou une partie du système enzymatique, est inexistante chez les primates. En 1965, Irwin Stone a supposé qu’une mutation négative pouvait avoir eu lieu chez ces espèces, ce qui aurait causé la perte de leur habileté à produire de la vitamine C. On pense que ceci se serait produit chez les primates il y a environ 25 millions d’années. 

Contrairement aux autres vitamines, la vitamine C est requise en grandes quantité, qui ne peut être fournie que par un régime tropical à haute teneur en fruits et autres végétaux. Si une quantité suffisante de vitamine C peut être obtenue d’un tel régime, la quantité de glucose normalement utilisée pour synthétiser la vitamine C peut être canalisée pour produire de l’énergie. On peut imaginer que ceci aurait pu avoir été un avantage pour les primates ou les autres espèces.

Le docteur Jungblut, un pionnier de la thérapie par la vitamine C dans les années 1930, a découvert que seuls les primates et les cochons d’Inde étaient susceptibles d’avoir le scorbut, de même que le choc anaphylactique, la tuberculose pulmonaire, l’intoxication diphtérique, une infection virale de type poliomyélite et une forme virale de leucémie. Aucun animal de laboratoire capable de synthétiser de la vitamine C n’était susceptible d’avoir ces maladies. Ceci est peut-être une des premières observations qui a mené à l’idée que les infections virales pouvaient être une conséquence d’une carence en vitamine C. 

Le fait que presque toutes les espèces continuent à produire de la vitamine C suggère que la quantité de vitamine C généralement disponible dans l’alimentation n’est pas suffisante pour obtenir une nutrition optimale, sauf lors de circonstances exceptionnelles telles qu’un environnement tropical. Dans des circonstances normales, la quantité quotidienne produite, ajustée pour comparaison à un homme de 70 kg, est quelque part entre 3 000 mg et 15 000 mg, avec une moyenne de 5 400 mg.

Bien qu’aussi peu que 60 mg par jour puisse prévenir le scorbut, la maladie résultant d’une carence identifiée pour la première fois par le Dr James Lind en 1753, il serait illogique de présumer que ceci est la dose optimale. Un sondage fait par des médecins américains a découvert que ceux qui étaient en meilleure santé consommaient au moins 250 mg de vitamine C par jour. Un récent sondage a démontré que le statut en vitamine d’une personne est une bonne prédiction de son risque de mortalité. Des niveaux élevés de vitamine C dans le sang indiquent un faible risque de maladies cardiovasculaires, de certains types de cancer et d’autres maladies basées sur l’immunité. La dose optimale pour réduire le risque de telles conditions semblerait être d’au moins 500 mg par jour.

Mais ne produisez-vous pas simplement une urine dispendieuse quand vous prenez de grandes quantités de suppléments ? Le Dr Michael Colgan a étudié cette contre-preuve souvent lancée. Il a fait une recherche à savoir combien de vitamine C nous utilisons vraiment en administrant des doses quotidiennes de plus en plus élevées et en mesurant l’excrétion. Seulement un quart des participants ont atteint leur maximum à 1 500 mg par jour. Plus de la moitié d’entre eux ont eu besoin de plus de 2 500 mg par jour pour atteindre un niveau où leur corps ne pouvait plus en utiliser davantage. Quatre sujets n’ont pu atteindre leur maximum à 5 000 mg. Une augmentation de la ration de vitamine C de 50 mg à 500 mg a tendance à doubler le niveau de vitamine C sérique. Une augmentation de la consommation à 5 000 mg par jour doublera de nouveau le niveau sérique. La vitamine C protège l’intestin, les reins et la vessie pendant son passage. Comme le Dr Michael Colgan le souligne, en moyenne, une victime du cancer de l’intestin ou de la vessie aux États-Unis dépense 26 000 $ en traitement - surtout sans résultat.

Il est logique de déduire, à partir de cette brève histoire de l’évolution, d’une comparaison avec d’autres espèces et des niveaux d’excrétion moyens, que le niveau optimal de vitamine C est probablement au-dessus de 1 000 mg avec beaucoup d’espace pour des variations individuelles. Qu’en est-il de l’«évidence brute» ? Quels sont les niveaux requis afin d’assurer un fonctionnement maximum des enzymes et des systèmes corporels qui dépendent de la vitamine C ? Une revue rapide de quelques-uns des centaines de rôles biochimiques de la vitamine C va maintenant nous aider. La vitamine C est requise pour assurer la synthèse du collagène, notre colle intercellulaire qui conserve intacts notre peau, nos poumons, nos artères, notre système digestif et tous nos organes. Elle est un antioxydant puissant qui nous protège des radicaux libres, de la pollution, des carcinogènes, des métaux lourds et d’autres toxines. Elle est fortement antivirale et légèrement antibactérienne. Sans une quantité adéquate de vitamine C, aucune énergie n’est émise par chaque cellule, chaque muscle et le cerveau. Les glandes surrénales possèdent une forte concentration en vitamine C, qui est essentielle pour la synthèse des hormones du stress. La vitamine C est si indispensable pour la plupart des réactions chimiques du corps que sans elle, la vie ne pourrait tout simplement pas être possible.

Ingrédients

Chaque comprimé contient:    

Ingrédients médicinaux : - Vitamine C (Acide ascorbique)    1000 mg - Cynorrhodon d'églantier    50 mg - Complexe de bioflavonoïdes    150 mg 

Autres ingrédients :

hyprolose, phosphate dicalcique, croscarmellose sodique, stéarate de magnésium végétal, dioxyde de silicium et acide stéarique végétal, avec un revêtement d'alcool polyvinylique, de talc, de polyéthylène glycol et de polysorbate 80.


Utilisation suggérée

Adultes : Prendre 1 comprimé par jour ou selon les directives de votre professionnel de la santé.

Durée d'utilisation : Consulter un praticien de la santé pour une utilisation au-delà de 2 mois.


Précautions

Ne contient pas : gluten, soja, blé, œufs, produits laitiers, levure, agents de conservation, arôme ou colorant artificiels, amidon ou sucre.

Précautions et avertissements : Consulter un professionnel de la santé avant d'en faire l'usage si vous êtes enceinte ou si vous allaitez; ou si vous prenez des médicaments sur ordonnance.

Réactions indésirables connues : Une hypersensibilité/allergie à Rosa canina, à la poussière de cynorrhodon, à ses constituants ou à des membres de la famille de la rosacée a été connue ; dans ce cas, cesser l'utilisation.

Tenir hors de portée des enfants. Ne pas utiliser si le sceau est brisé.


Ingrédients

    Ingrédients médicinaux